À portée de main & à portée de coeur

La cosa che mi ha colpito dell’ARTISTA è la FIDUCIA. Lui ha fiducia in ogni persona che incontra, gli è impossibile essere diffidente. Altre cose mi hanno stupito : la sua infinta voglia di sognare, la sua calma nel cercare un modo di far DIALOGARE tutti, la sua creatività.

Marika Innocenti

Ce que j’attends de mes amis Facebook, est un échange, à propos de ce qu’il est possible de faire, un quelque chose qui est à portée de main, à portée de coeur, et qui nous fait du bien si l’on bien considérer, ce quelque chose qui fait que l’on se l’on pense que l’on est quelqu’un de précieux pour quelqu’une, pour quelqu’un en particulier. Ce quelqu’un ou ce quelqu’une qui nous regarde depuis un instant, depuis longtemps toujours comme si c’était la première fois que nos regards se croisaient… Ici je suis à Vence à l’espace Culturel Leclerc, un commerce qui vend des produits culturels et où j’attends un joueur de guitare que j’emmènerai avec moi, à Paris..ville jumelée avec Rome. Je lui dois bien ça, parce qu’il joue très bien de la guitare, dans le sens où son jeu apporte réellement quelque chose au morceau de musique, à la chanson, comme on disait il y a longtemps, au temps où Charles Trénet créait Le Printemps des poètes. Ceci pour vous dire que je n’hésite pas un seul instant à dire à quelqu’un que j’estime, que j’admire, qui m’émeut : bravo…merci…grazie comme on le dit dans ma langue maternelle qui est la langue retenue dans le monde entier, pour communiquer entre musiciens pour réaliser une oeuvre musicale, un point de vue vocal ou instrumental. Dommage que certains se privent de traduire ces quelques mots qui permettent de comprendre par exemple l’intention de celui qui a écrit les paroles de l’hymne national français, intention qui, pour les vrais italianistes, s’entend à la lecture des premiers mots du texte… Parmi mes amis Facebook, certaines femmes, et certains hommes, comprennent pourquoi, je prends le temps de composer avec des personnes de l’autre genre. La réponse est assurément dans les morceaux de musique que je créée avec des femmes et leur enfant, juste pour le plaisir de faire quelque chose d’agréable, quelque chose qui te vais réellement voyager, partager, faire la part des choses, quant à ce qui fondamental et ce qui ne l’est pas, en fixant des limites à tous ces gens qui sortent leurs griffes, si l’on se permet de fixer des limites quant à un jardin secret que nous avons tous à cultiver. Je pense que je fais quelque chose d’utile, quelque chose d’honnête aussi, en acceptant que l’on m’invite, comme ici, à présenter un poème musical dont, on parle depuis longtemps, depuis le 24 juillet 1966…date du décès de ma grand-mère maternelle qui s’appelait Consiglia – traduction littérale Conseille – …Oui, ma grand-mère maternelle était de bon conseil, parce qu’elle a eu su me donner l’envie de vivre mon enfance, et de faire trésor du souvenir du son de sa voix qui me chantait des berceuses, berceuses dont j’écris le prolongement, comme ça naturellement, en regardant le ciel où je vois toujours quelque chose qui brille et que je reconnais comme la clef d’une maison bien à moi, où l’on édite, chaque jour des livres voyant la lectrice et où le lecteur chanter, à commencer par moi, moi qui selon le point de vue de Marika Innocenti, j’ai envie de rêver….de DIALOGARE, comme elle l’a écrit de sa blanche main, histoire d’encourager l’accomplissement du rêve d’enfant le plus légitime.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *