Deux hommes deux artistes, se retrouvent la nuit de Noël sur un “bateau ivre”, un superbe voilier au milieu d’une mer démontée. L’équipage a déjà depuis longtemps quitté le bord, désespérant d’un monde meilleur. Ils se regardent et leurs yeux brillent car seuls les FORTS savent que la lumière qu’ils portent ne les abandonne pas. Cette lumière s’appelle ÉTERNITÉ. Le père prend sa guitare, son fils le regarde unissant sa voix à la sienne. Cette chanson, c’est « I FEEL THE SAME FIFTY YEARS AFTER ». Les flots s’entrouvrent, et une femme aussi belle que la Vénus de Botticelli surgit en dansant. Ses cheveux d’un blond ardent ondulent au rythme de la danse, au rythme de la mer : « La mer sait caresser” (chanson trouvée sur le site de la SACEM) qui nous caresse amoureusement « DANSE, DANSE, JE T’EN PRIE… ». Il est minuit, une pluie d’étoiles tombent du ciel, c’est NOËL. « Il n’y a rien de plus beau qu’une chanson », comme il est écrit sur une plaque commémorative à l’entrée du Centre culturel Italo-français.
Proposition de mise en scène du poème “I feel the same fifty years after the last Beatles concert”
