YES oui sì YA YA

Yes parce que John, rencontrant Yoko la première a accepté de voir le message à son endroit : YES.

oui parce que c’est parce ce ce mot est la traduction du mot anglais : YES, parce que phonétiquement, il signifie : NOUS en anglais, langue de communication de l’auteur Vincent Tondo, lorsqu’il s’agit de partager sa chanson intitulée Single, en rencontrant John Hadley et Michel Lobelle dans les bureaux de BBC WORLD, mercredi 15 mai 1985. Le fils de l’économiste Bernard Ducros et de Peggy Dunlop, était naturellement présent. SI’ parce que c’est oui en italien, la langue de la maman de Vincent Tondo, en plus d’être phonétiquement SEE, mot anglais. Ce qui donne : OUI NOUS VOYONS “YA YA”. Le “YA YA” dont il est question ici, est un morceau de musique cité par JULIAN LENNON à la batterie, et son PAPA au piano. Cette citation est la concrétisation du rêve de beaucoup de fils de rockers : jouer avec papa un morceau de rock, comme si papa avait le même âge que son fils, faisant ainsi le cadeau de permettre à papa de retrouver son âme d’enfant… Dans la réalité, pour vivre ce rêve, on a besoin d’une baguette magique, baguette magique qui fait que l’on se regarde avec amour, entre gamins, ralentissant le tempo, pour produire une musique humaine, pour que les coeurs battent à la même vitesse, pour faire évoluer un classique d’entre les classiques du rock endiablé en comptine. Chi va piano, va sano, va lontano, montrons l’exemple, n’est-ce pas ? Pour être heureux tout de suite, et voir que le regard de nos enfants nous élève. Le livre YES oui si’ YA YA est un bon outil pédagogique, permettant de découvrir des chansons françaises évoluant en poèmes en italien, en anglais même, langue d’adoption de l’homme au cigare de cette histoire : le simple soldat italien Michele Santarella qui disait en langue régionale : nous sommes anglais, en pensant à Winston Churchill, alias l’homme qui pour trouver la solution la meilleure avait consulté de nombreuses personnes en prenant le métro. Michele Santarella, père de Francesca Santarella, maman de l’auteur de ce livre, a été inhumé au cimetière de Pergine Valsugana, à deux pas de la Val di Sole, durant l’été 1974. Tel est le sens de la couverture de ce livre rendant hommage… à ceux qui disent oui avec la tête et non avec le coeur…

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