Ce soir > Link to George Sand
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Vincent Tondo > Link to
Tony McKenzie > Link to
Father McKenzie > Link to Eleanor Rigby (From “Yellow Submarine”)
Graeme Allwright > Link to “Il faut que je m’en aille”
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Auteur : Jean Lapierre > Link to
George Sand, c’est historique, répond en deux mots, à la plus importante question, à savoir celle que l’on pose, en espérant la plus étoilée des nuits, une nuit dansante, bien sûr, une nuit que l’on veut chaque soir, comme idéal. Le père McKenzie, le père McCartney font dans le flamboyant, sans s’en rendre compte, puisque leur musique à succès, fera tôt ou tard partie des classiques d’entre les classiques. Il faut que je m’en aille ? Non, non…pense la mélodie qui reste pour nous faire chanter chaque matin au réveil que la journée est belle. José Sacré et il fait chaud dans le studio de Télé Monte Carlo. Il fait chaud pour des tas de raisons, la première et que Tondo débarque en duo, McKenzie en trio et que leurs chansons internationales reflètent une pensée qui remonte à la surface comme le fameux sous-marin jaune des Beatles, comme les Beatles au nombre de cinq, qui chantaient “Don’t Let Me Down” sur le toit d’un immeuble à Londres. En 1985, les lecteurs du Dauphiné Libéré allaient être aux premières loges, grâce à l’avocat d’une chanson : LA CHANSON DE PARIS. En effet, Jean Lapierre a, depuis longtemps, mémoire du présent…à savoir la seule mémoire digne de ce nom…(A SUIVRE en tournée express)