« Perché ci possiamo amare » Un livre de Dora Giannetti & Vincent Tondo

Dora Giannetti ? Celles et ceux qui aiment vraiment Mina, la connaissent, puisqu’elle a écrit DIVINA MINA, autrement dit la première biographie de Mina alias l’interprète numéro un en Italie pour avoir chanté italien « Un anno d’amore » à savoir la version italienne de « C’est irréparable », une des quatre chansons du premier 45 tours de Nino Ferrer. Vincent Tondo ? « L’interprète à la forme internationale » (cf la notice de personne publiée par la BnF – Bibliothèque nationale de France – Paris / lien vers  >) que l’on sait puisque son 45 tours contenant la chanson DREAMING MAN, est considéré comme un document sonore. « Responsabilité exercée sur le document : interprète » comme vous pouvez le lire en cliquant sur « Dreaming Man » , information donnée par la BnF. Vincent « l’homme en train de rêver » qu’il ressuscite John Lennon, né la même année que Mina et à qui l’on doit l’interprétation en duo homme / femme de IF I FELL, autrement dit une chanson de John Lennon publiée en 1964, une année après c’est « C’est irréparable ». Via dei Gracchi à Rome, qui n’a pas vu le défilé de mélodies qui figure à cette page www.viadeigracchi.com En effet, les chansons en question courent toujours dans cette rue où il y a Le mercato dell’Unità. Dora Giannetti est sur les pas de poètes qui se promènent avec une clef de sol, et Vincent Tondo fait partie de ce groupe de personnes en capacité de mettre en chanson des poétesses vivantes comme par exemple la poète nationale belge Laurence Vielle. Poète national ? Cliquez sur ce lien est vous saurez de dont il s’agit. La chanson s’appelle « La terre tourne » et ça tourne bien, parce que dans cette narration qu’est le livre audio « Perché ci possiamo amare » – traduction : parce que nous sommes capables de nous aimer – Dora Giannetti et Vincent Tondo, partagent largement une petite musique humaine, à l’image d’une humanité nourrie par la musique populaire, comme il a été exposé à Paris lors de la table rondo « Le retour de l’italianité » animée par Guillaume Malaurie, journaliste à HISTORIA et à LA RECHERCHE. Dans ce livre correspondant à la vérité dans laquelle apparaissent Dora Giannetti et Vincent Tondo, ensemble. En écoutant Dora Giannetti s’exprimer en langue française, italienne et Vincent Tondo chanter en anglais, en italien et en français, on est à l’écoute de vraies réponses répondant au bonnes questions, questions que nous nous posons tous en pensant à nos grands-parents que nous considérons à juste titre, comme des personnes  nous ayant prouvé que l’on vit d’amour et de rien d’autre, et que si on nous « a volé notre enfance » (parole de Silvano Agosti), il est toujours temps de la vivre… Cette première partie, on entend la mélodie figurant en face B du disque de Never Together, un disque rare publié en 1978, alors que Vincent Tondo alias Vincent Dominique Tondo avait 19 ans et qui on le suppose a découvert l’existence de Dora Giannetti, une âme d’artiste depuis des générations et à qui l’on doit une narration à base d’interviews de chanteuses et de chanteurs. parce que Dora Giannetti est journaliste, diplômée d’une école de journalisme. Sur les plages composées par Vincent Tondo, on entend la voix de Dora Giannetti laisser parler son coeur de bambina unique, du genre que chante Vincent Tondo à travers « UNA BAMBINA BIONDA E BLU » , un hommage du vivant à Nino Ferrer le musicien, mais surtout le lover qui nous a laissé « Besame Mucho » interprété en compagnie de sa femme Kinou qui aussi la mère de ses deux enfants Pierre et Arthur Ferrari. A’ Ramponio, dans la Vallée, le 13 août 2020, Vincent Tondo et Dora Giannetti ont été vue ensemble, sur les pas d’un Giorgio Gaber accompagné par le docteur en pharmacie Ettore Giannetti au piano… « Chi va piano, va sano », n’est-ce pas ? A’ Grenoble, on le sait bien que Bayard, le chevalier « sans peur et sans peur et sans reproche » est mort au combat en Italie, tout comme Lapalisse est mort devant Pavie, en faisant encore envie un quart d’heure avant sa mort, tout ceci pour dire que rester jeune jusqu’au bout est possible, que ce livre défend le juste retour d’un style de vie fait de rire et de chansons à l’image d’un piano embrassant une guitare. Dans ce livre, souligne Vincent Tondo, pour le présenter : je suis l’homme piano, Dora c’est la femme guitare, autrement dit quelqu’un qui baigne dans la chaleur des sons décrite par Jean Lapierre, alias le journaliste qui annonce le concert de Vincent Tondo à la une d’un quotidien dans tout le département de l’Isère, où aujourd’hui on prépare une fête de Noël en racontant l’histoire d’une propriété historique que Vincent Tondo qui « nous berce » présente à Paris, chemin « Nino Ferrer » – lien vers la vidéo « Vincent Tondo imagine un chemin un chemin Nino Ferrer » > /// Lien vers la vidéo > – « Perché ci possiamo amare – livre audio en italien, en anglais, en français – première partie 11m55s »

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