Claude Louis Piachaud : “Il était là, et il a dit : Maman, d’un air désespéré”

“Il était là, et il a dit : Maman, d’un air désespéré” … c’est ce que nous a fait entendre Claude Louis Piachaud, lui-même, à l’occasion d’un repas organisé dans un bon restaurant fréquenté par son père, un père … C’était au milieu des années 80, et Vincent Tondo est arrivé pour porter, en compagnie de la génération Sergent Poivre, un vrai message d’espoir, sous forme de maxi 45 tours, contenant Dreaming Man. Le maxi 45 tours en question est considéré comme un document sonore comme le prouve la BnF… À travers ce message, comme un appel à ses proches, c’est l’ensemble de l’oeuvre de Claude Louis Piachaud qui se fait entendre. Il s’agit d’oeuvres théâtrales qui sont au nombre de trois et qui s’intitulent : La tragédie de Socrate, Alcibiade, La Caverne, écrite dans les années 60, à l’époque où les Beatles ont fait leur apparition dans le monde du cinéma. Et il convient enfin de rappeler avec joie que le diplomate Claude Louis Piachaud était journaliste et que lors d’une séance de projection du film Help, après avoir demandé à plusieurs reprises aux spectateurs de cesser de faire du bruit au point de couvrir le son du film, demandé au projectionniste d’interrompre la projection du film de Richard Lester, jusqu’a obtention du silence complet, silence qu’il a obtenu et lui a permis de décrypter le message porté par tous les artistes de toutes les disciplines et qui se résume en deux mots en français : AU SECOURS. Oui, en effet, il est toujours d’actualité d’encourager ceux qui entreprennent, alors que certains se confortent à la manière du personnage du Grand chef, film joué dont les rôles principaux sont tenus par Gino Cervi et Fernandel. Que la génération Michel Berger soit rassurée, ainsi que la génération Vannick Le Poulain. Avec cette chanson que l’on entend en fond sonore et qui a été créée dans le cadre du projet Arcole financé par l’Etat, Le Romain John ensemble, autrement dit l’ensemble vocal constitué d’une seule voix, et celle de son fils Romain- Dominique Tondo, de la voix de l’auteur de cette vidéo, à savoir, celle d’Antoine-Guillaume Tondo qui avait dix ans à l’époque, du dobro de Max Delvaux, du clavier d’Eric Wilms, des guitares de Vincent Tondo (une Takamine, une Di Mauro), et de sa voix caractéristique saluée entre autres, à travers un article intitulé TONDO FAIT CHANTER LE QUAI BONAPARTE…parce qu’en effet, il suffit de l’admettre la réalité est beaucoup plus belle que celle que les illusionnistes de la peur veulent nous faire avaler.

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