On ira, toi et moi, où nous ne sommes jamais allés.

On ira, toi et moi, où nous ne sommes jamais allés. Plus jamais tu ne couperas tes cheveux…Tu seras grande..et moi suffisamment pour …que, jusqu’à la fin des jours, je te chante en italien, histoire de faire, l’histoire d’un rêve de grands enfants qui rêvent à deux, les yeux dans les yeux sans se lasser, histoire, toujours, que ce mot d’amour, existe en vrai, comme réponse voulue par toi depuis les années lycée, les années que tu sais chanter en anglais, librement, dans ta tête, loin de tout ennui dont je veux m’échapper pour que nos “Only you”, nos “Stand by me”, en do, en ré, en mi, en toutes les tonalités, en publicité, en été, sur une plage, soient un jeu infini, aux délicieuses sensations, comme ça, sans réfléchir, parce c’est tout réfléchi, parce que les merveilleux enfants que nous avons déjà ont besoin de courir, eux aussi, en suivant les indications de coeurs emmêlés, rouge sur blanc, rouge-bleu, aux yeux du monde entier, aux yeux de toutes les âmes ignares qui suivent la plus belle des lumières : l’amour. Voilà. Que mes amis Facebook le sachent, tu es belle la tête dans ta nue, tu es belle quand tu es nuage, et tous les jours ça t’étonne quand je te fais l’article de ta voix qui se mêle à la mienne, sur scène, sous la douche, sous les yeux de ma mère qui a vécu plus de soixante ans avec mon père, c’est à dire trois fois rien pour grandir suffisamment et comprendre le voyage nécessaire que l’on fait pour essayer de comprendre que les anges et les Marie se fondent pour le bonheur de se sentir exister aux yeux de tous les enquêteurs qui se demandent pourquoi je t’ai toujours aimée, pourquoi je t’aimerai toujours, dans quarante, dans quatre vingt, et que nos arrière …arrière…arrière…petits enfant chanteront le pli que nous avons pris de dormir ensemble chaque nuit, sans relire la bobine d’un film…avec des chevaux sauvages, avec des rigolades, avec du pain, avec du vin d’une terre où la souffrance s’arrête enfin, où la douceur avant toute chose s’expose sur la plus belle des place, au coeur d’une ville, comme au pays de toutes les enfances, in una scuola dell’infanzia nel sud che ride per musicare, per gridare, per giocare, per mangiare, per vivere insomma come vive una famiglia alla luce di ogni giorno. BACI…AMI…

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