LA PIZZUTA DEL PRINCIPE est une histoire de coeur

LA PIZZUTA DEL PRINCIPE est une histoire de coeur entre un FILS et son père, c’est une histoire à raconter à toutes les petites filles, quel que soit leur âge, pour que l’on comprenne que le tourisme et la culture ne font qu’un, comme c’est le cas chez les femmes qui savent rester libres et qui entendent être vues comme le prie Vincent Tondo à travers “It’s a song for today all my life”, voyant ici la rencontre entre deux joueurs d’un instrument issu de la fusion entre l’Ukulele et la Guitare, un peu comme LA MER et IL MARE. Les deux joueurs de guitalele se regardent et chantent ensemble une chanson particulière, jamais apprise par coeur, présentée pour la première fois, comme la chanson idéale du nouveau cinéma américain. En effet, Antoine-Guilaume défend le fait que belcanto et rock ne forme qu’un, présentant sur les ondes de France Bleu un enregistrement que certains participants au FESTIVAL DE DEAUVILLE en 2012, ont pris pour un inédit des mythiques Beatles, franchement émus par le sens des mots chantés et la présence de la guitare classique rappelant des aventures comme AND I LOVE HER. La chanson décrit un présent merveilleux, où les garçons de tous les âges voient leur avenir dans le regard d’une seule femme, une femme en capacité de comprendre ce que veut l’enfant qui survit en chaque homme : LE PETIT ENFANT DIT A’ LA FEMME QU’IL AIME, QU’ELLE SI JOLIE ET PLUS IL LA REGARDE PLUS IL LA TROUVE JOLIE, PLUS IL LA CROIT EN CAPACITE’ DE REALISER. La chanson fait référence au PETIT PRINCE D’ANTOINE DE SAINT EXUPERY et montre des prolongements infinis quant aux rencontres publiques ayant eu lieu dans LE SUD de l’Italie grâce au programme “IL GIROTONDO DI TONDO”. Il GIROTONDO DI TONDO est un album réalisé en interaction avec les participants d’un prix littéraire récompensant amoureux d’une littérature en langue italienne, produisant dans cette langue, malgré une immersion dans une autre langue, à l’image d’une Arabella Vallone, venue vivre à Paris durant l’enfance, mais continuant à défendre LA NOSTALGIE comme étant fondamentale. J’ai tourné ce film aujourd’hui, un film permettant de voir à quoi ressemble l’émotion d’une première fois que l’on veut garder précieusement, pour y revenir, comme il est décrit à cette adresse, sous le titre : L’HISTOIRE EN SEPT POINTS. J’enseigne la langue française en compagnie de mon père Vincent Tondo, renvoyant une image positive de la pratique de cette langue dans les écoles de l’Istruzione Pubblica (l’équivalent de l’Education Nationale). J’enseigne le français, non seulement aux élèves, mais aussi aux enseignants, refaisant plusieurs fois de suite la même prise jusqu’à l’obtention d’un résultat correct en terme de prononciation. De l’assemblage des séquences, est tiré l’audio qui est diffusé à la radio. L’action culturelle dont il est question a commencé pour moi, dans le cadre du projet novateur réalisé en famille, un projet ayant pour objectif la formation d’ASSISTANTE DE VIE. J’avais 7 ans, j’en ai aujourd’hui 23, et je puis vous assurer que je suis suffisamment expérimenté pour faire cohabiter toutes les générations, toutes les cultures, avec bonheur, mon père et ses collègues, m’ayant encouragé à plusieurs reprises dans cette voie. Et j’aime à dire chaque jour qu’il convient plus que jamais de constater qu’il y a lieu de changer de point de vue, quant à l’idée que l’on se fait de la fameuse vérité et de la fameuse bonne direction. Personne ne regarde Clara Ranieri, comme la regarde Albino Bianchi, un pharmacien d’origine toscane qui défend depuis que le film existe, l’idée de la chanson : ROMA NON FARE LA STUPIDA STASERA Cherchez la chanson sur la méga toile qu’est internet …cet exposé est un article que je continuerai sous le même titre sur le blog que vus trouverez à cette adresse : www.quitusais.it

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