C’est l’histoire d’une fillette…

C’est l’histoire d’une fillette devenue fille, pour se battre comme se battent les femmes, apparaissant dans leur beauté, dans leur vérité aux côtés d’un adolescent amoureux au point de s’éloigner au pays de cette histoire chantée : Comme j’ai toujours envie d’aimer. Le personnage d’Antoine est dépeint dans une chanson qui m’est tombée en bouche il y a 24 ans. “Sais-tu tout à fait à quel point je t’aime ?” est la question qui me vient à l’esprit avec l’espoir de voir un jour prochain résonner la question comme chant dans un stade tout neuf, dédié au plus populaire des sports collectifs. Nous devons prendre nos responsabilités pour être des parents acceptables en montrant à nos enfants la beauté des événements qui font leur quotidien, pour leur donner l’envie de partager largement ce qui leur tombe d’un ciel de plus en plus bleu, nous faisant voir le fauteuil de nuage dans lequel le bon Dieu est assis, pour regarder le film dont j’ai entendu parler à travers une publication de Marine Bercot. Mon Dieu ! “Ne me parle pas de Grenoble” ! Et pourtant si ! Puisqu’à Grenoble il y a la rue des Bons Enfants, la rue où l’ancienne Pizzeria Pinocchio nous donne à entendre l’histoire d’un paradis décrit par John Lennon en compagnie de Nino Ferrer, de Pavese et de l’homme de l’année à Cannes en 2009 : Henri Salvador. En 2009, c’était la guerre, un peu partout, du nord au sud, une guerre dont on ne voulait pas, et que l’on a dû faire, pour une histoire de coeur…(continua)

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