“Arabella” est une histoire à écouter…

“Arabella” est une bonne histoire, dans le sens où il suffit de se laisser porter par l’air, autrement dit la mélodie contenue dans sa voix, quoiqu’elle dise, pour voyager en 7 clefs sur l’océan le plus lumineux qui soit, parce qu’il permet de voir les profondeurs où se trouve un sous-marin jaune à bord du quel il y a de la place pour celles et ceux qui regardent dans le regard d’un autre unique, depuis le temps que les Beatles ont quitté la scène en 1966 pour colorer à travers leur chant enfantin les ARAbesques folles dont parle Victor Hugo en pensant à sa fille BELLA. Le poème de Victor Hugo a pour titre :
ELLE avait pris ce plI.
J’ai mis des majuscules pour me SOUVENIR des PROMESSES des années Lycée, années durant lesquelles j’ai dû croiser Arabella Vallone, entre tracés de couleurs et guitares débutantes essayant de trouver le lien, en le bon début et la bonne fin, pour former une ronde, entre une éternelle BAMBINA et UN ADOLESCENT à voir comme une personne cherchant des réponses, sans jamais poser de question, puisque la bonne réponse est contenue dans la bonne question posée par LA MER, par LA PRIMAVERA.

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