Une sacrée dose d’humour pour éliminer la violence morale contre les femmes et les enfants

Laura exerce le métier d’avocat dans une ville de la Ligurie, en particulier, jumelée avec Villefranche-de-Rouergue. La ville en question a fait l’objet d’une vidéate sur les pas de parents hors du commun, dans le sens où les parents en question écoutent leurs enfants qu’ils cajolent, comme eux-mêmes, n’ont jamais été cajolés. Cajoler une enfant, un enfant, c’est lui “donner la confiance en son pas”, comme le dit la chanson que chante Joan Baez “Prendre un enfant”. Vincent Tondo alias Vincent Dominique Tondo, alias ma pomme, ai suivi l’idée de mon fils Antoine-Guillaume Tondo qui depuis sa plus tendre enfance, est intarissable avec le monde des adultes, les plus fragiles surtout, à savoir les personnes âgées qui sombrent dans la déchéance, parce leur famille n’a jamais pris au sérieux le métier qu’ils ont choisi de faire. L’histoire de ce film, c’est l’histoire d’un homme de 89 ans, à qui Antoine-Guillaume Tondo, a décidé d’offrir son plus beau cadeau d’anniversaire, à Rome, s’entourant de sa plus proche famille, de ses plus vrais amis, rencontrés entre 2006 et 2020, de vrais défenseurs de la nostalgie, parce que la nostalgie c’est l’avenir du monde de la jeunesse, c’est l’assurance de ne pas tomber dans les pièges qui vous éloignent d’une maison du bonheur bien à vous. Cette bande-annonce montre un Agostino Raff sur le lieu du tournage de son film, très en colère contre l’équipe de production du film, un film qui comme tous les films de facture royale, se termine en chanson….”Prendre un enfant pour un roi”, n’est-ce pas ? Agostino Raff n’y croit pas. Il a certainement oublié qu’il a à son écoute une vraie maman, journaliste professionnelle, une écrivaine de talent, ayant fait ses preuves depuis le premier janvier 1985. La morale de cette histoire c’est de bien vouloir constater qu’il y a des personnes qui rassemblent, à travers leur art. Les personnes en question sont très fortes, mais elles ont leurs limites. En conséquence, pensons à protéger celles et ceux qui ont la force d’aimer, des personnes qui ont la faiblesse de se laisser aller, non pas à une colère momentanée mais à la violence morale.

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