C’EST ARRIVÉ EN 1949

C’est arrivé en 1949, lors d’une rencontre ayant eu lieu entre John Lennon, 9 ans, Nino Ferrer 15 ans, Cesare Pavese 41 ans, Henri Salvador 32 ans. John Lennon était venu avec son grand-père, son homonyme, pour essayer de faire entendre aux adultes de cette histoire, l’urgence d’un accord à trouver pour que l’humour sauve l’amour, et que l’on comprenne la leçon que la guerre fraichement finie, venait de donner, aux familles du monde entier. Nino Ferrer était un adolescent particulier, nullement en révolte contre ses parents qui s’entendaient à merveille, priant toutes les personnes qu’ils rencontraient de comprendre que la plus terrible des guerres étaient celles qui avait lieu chaque jour, entre amoureux, entre parents. Nino voyait son père comme un soleil, sa mère comme la lune, et avait rencontré John Lennon, grâce à un dessin qu’il avait fait à toute vitesse, pour faire comprendre à ses parents qu’il y avait tout lieu qu’ils restent ensemble, pour chanter ensemble, chaque soir, une berceuse qu’ils inventeraient en la chantant, pour que la nuit prépare le jour. Cesare Pavese, qui connaissait bien la langue anglaise avait eu vent de “DJANGO BLUE” , un morceau porté par Louis Vola, un homme qui savait ce qui faisait tourner la terre dans le bon sens, et sur quel rythme il y avait lieu de danser, dans la chaleur d’une musique inspirant les pas de danse à celles et à ceux qui se prennent par les yeux. 30 ans plus tard, un film devait se faire à Paris, un film encouragé par une actrice de la vie culturelle parisienne, un film qui existerait en français, comme en italien, dans le but de voir la poésie française voler au secours de ceux qui ont eu la chance de voir passer Elisabeth et Robert Browning… VOLA se traduit : IL VOLE… TONDO se traduit : ROND. Louis Tondo, 10 ans le saura, puisque la femme qui allait épouser son père, Vincent Tondo, ne pouvait être que styliste de mode. Vincent ? Comprenez VINCENTE, en français : GAGNANT. Le premier petit fils de Vincent Tondo jouera de la musique en compagnie de Louis Vola, en compagnie d’une professeure de musique âgée de 14 ans en 1949. La réunion secrète ayant eu lieu entre Louis Vola et Vincent Tondo, nés tous les deux en 1902, explique aujourd’hui, en 2018, pourquoi et comment, on fait du cinéma, au sens propre, comme au figuré. Louis Tondo trouvera dans le film “Miquette et sa mère”, les moyens concrets, de laisser à sa belle qu’il appellera Karine, jusqu’au bout de sa vie, pour lui prouver que la vérité, la beauté, la bonté ne forment qu’un, pour inspirer des rires, à ceux qui, broyés par le chagrin, passent le plus clair de leur temps, à essayer de faire plaisir à tout le monde, ce qui bien évidemment, créée les plus terribles conflits, entre frères, entre pères, entre personnes qui perdent de vue, le jour de leur première rencontre. 7 chansons écrites, composées et chantées par le premier fils du grand frère de Louis Tondo, né en 1930, doivent être mises en scène à Paris, dès demain, et pour très longtemps, dans le but de multiplier la formation de chorales à créer dans les écoles de la République, en France Métropolitaine, dans les DOM TOM…. Le frère de Louis Tondo, s’appelait Dominique. Dominique a dit haut et fort, en se mettant en colère : il n’y a rien de plus beau qu’une chanson… Son premier fils, qui je le rappelle, porte le nom de son grand-père : Vincent Tondo, ressuscite JOHN LENNON, c’est écrit, comme l’avait annoncé Jean Lapierre, auteur du livre LA CHANSON DE PARIS… Jean Lapierre alias JL a de la mémoire, en plus d’être de plus en plus visionnaire quant à la réalité d’une musique secours, balançant à Paris, au son des voix de Vannick Le Poulain en compagnie de Vincent Tondo. Vannick Le Poulain ? Demandez à Google et vous saurez le titre des trois chansons qu’elle joue, en couleurs, en noir et blanc et en bichromie…

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