18 février 1933 – YOKO ONO soufflera 90 bougies cette année, 50 ème anniversaire de CLOUD PIECE

18 février 2023, Yoko Ono reprend son souffle. Parce qu’en effet, un peu partout dans le monde on s’organise, à partir d’aujourd’hui, un jour très important où la chanson évolue en poème trait d’union entre les peuples, poème dont l’histoire commence pour Vincent Tondo, le 19 janvier 1984, date de naissance de son premier fils, pour Dora Giannetti, le 23 janvier 1991, date de naissance de sa fille unique. À partir de cette date, les événements qui se produiront, seront le fruit d’un dialogue, sous forme de questions posées par Dora Giannetti à Vincent Tondo, qu’elle aurait croisé à Londres la première fois le 15 mai 1985, dans sa langue maternelle, Vincent Tondo lui répondant dans la langue maternelle de John Hadley, à savoir le français, emmenant la journaliste dans le récit d’une anecdote de leur enfance en Italie, chez le coiffeur avant de se faire photographier par papà Dottor Giannetti, de son prénom Ettore, ou par mamma Professoressa Santarella, de son prénom Francesca, alias Franca, alias Checchina… À la maison, Dora, à cette époque, on l’appelle Doretta, comme Doretta Morrow… Au début de la vidéo on entend la voix de Doretta souffler les mots d’une chanson toute nouvelle née d’une étincelle, c’est “la scintilla” à l’origine de cette création renvoyant à des oeuvres musicales populaires permettant d’entendre Yoko Ono, chanter des berceuses du genre Remember love, ou partageant la ligne mélodique d’une chanson des Beatles : The continuing story of Bungalow Bill… pour en arriver au rappel d’une oeuvre en particulier portant ce titre : Cloud peace, datant de 1963, indiquant au visiteur ce qu’elle aimerait qu’il fasse pour être heureux, même si heureux n’est pas un métier, contrairement à ce que défendait un John Lennon interrogé par une enseignante en présence de ses copains de classe : la classe 1940. Que reste-il de nos amours ? chante celui qui voit danser la mer en ouvrant sa fenêtre, composant instantanément une chanson qu’il interprètera le soir même. Dans le public Monsieur Claude-Louis Piachaud, le Claude du poème intitulé Claude au tambour battant. Vincent Dominique Tondo, guitariste que l’on trouve en ouvrant le moteur Google accompagne ici, cette promenade à travers les rues de Sarzana, sur les pas de Cristiano De André venu à Paris pour jouer dans le clip contenant une partie de slide guitare rappelant la partie de guitare de George Harrison dans Give me some truth créée par John Lennon, parce qu’en effet, Cristiano De André à part se servir de deux noix comme instruments de percussions, selon une déclaration filmée de son père Fabrizio, est un homme qui défend l’existence d’une rue, rue qu’il nomme dans la chanson Invisibili. “Nous étions tellement invisibles que l’on ne se voyait jamais” chante Cristiano De André. Alors nous nous sommes dit, 50 après Yoko Ono, qu’il était temps de remonter le temps, à l’époque où l’on avait la sensation qu’il ne courait pas, comme le dit la chanson “Il tempo non volava”, créée sur scène lors d’une soirée de remise de prix lors de la première édition d’un festival, qui grâce à cette unique soirée, marquée par un fil conducteur reliant les films projetés, on allait être en capacité de se réunir entre parents réunissant un large public dans le cadre d’un projet connu sous le nom “Casa “Il vino del dottore”.

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